Aurore ou l’optimiste
Étudiante aux multiples facettes, Aurore Valex croque la vie à pleines dents, s’engage, toujours avec le sourire et la volonté de bien faire.
Après être passée par trois années de CPGE (classe préparatoire aux grandes écoles) en PCSI (Physique, Chimie, Sciences de l’Ingénieur·e), pendant lesquelles s’enchaînent les hauts et les bas, Aurore entre à l’École Nationale Supérieure et découvre le milieu associatif, qui lui permet de s’épanouir. Une bouffée d’air qui lui permet de s’engager et de s’adonner à ses activités favorites. Aurore est avant tout une personne qui aime varier les centres d’intérêt. Elle s’accorde beaucoup de temps à cuisiner. À la question : quel est ton sens favori ? La jeune femme répond, après de longues secondes d’hésitation : « Le goût, parce que manger, c’est que du plaisir ! »
« J’adore le football »
Aurore est une adepte convaincue du milieu footballistique. Elle adore par-dessus les jeunes joueur·euses français·es, qu’importe leur club. « Mon top 3, c’est Killian Mbappé, Houssem Aouar et Delphine Cascarino », confie-t-elle. Des étoiles pleins les yeux, elle raconte l’une des expériences qui l’a marquée sans doute à vie : « J’ai déjà assisté à une finale de coupe du monde féminine. C’étaient les USA contre les Pays-Bas, à Lyon, et c’était trop trop bien ! »
Son carburant : l’empathie
Aurore est aussi une personne qui pleure facilement devant des films romantiques, avec passion. De nature très empathique, c’est pour elle « un shoot d’émotions de ouf [qu’elle] adore. » Un trait de caractère qui l’amène à s’engager, que ce soit dans le militantisme féministe ou LGBTQ+, mais aussi et surtout dans l’actualité politique, qu’elle suit avec attention. Énergique, elle souhaite travailler avec des publics « dont personne ne veut ». En ligne de mire : les habitant·es des milieux ruraux, les adolescent·es, les classes sociales populaires et défavorisées. À travers ce projet s’affrontent ses deux visions de la société et du monde : des injustices sociales visibles qu’elle espère un jour voir s’estomper, desquelles découle l’optimisme d’avoir toujours quelque chose à faire.
Aksel TOURTE